lundi 4 juillet 2011

Nous sommes les plus beaux enfants du monde.

C'était comme dans les films. Je rêvais qu'il me rattrape, et il l'a fait.
J’étalerais bien une quantité de mots, un énorme tas de virgules, une grosse masse de points, le tout dans des dizaines et des dizaines de lignes, et ça uniquement afin de décrire ce que je ressens, mais le problème c’est que cela ne serait pas suffisant. L’année dernière, j’écrivais pourtant beaucoup. Je ne me lassais pas de laisser courir mes doigts sur ce clavier tout en pensant à toi. À présent j’ai peur de le faire. Je suis effrayée à l’idée que ce bonheur m’échappe à nouveau. Peut être parce que je perdrais bien plus que la dernière fois. Car depuis, j’ai réalisé combien tu es important pour moi, combien j’ai besoin de toi. J’ai tant essayé de te faire sortir de ma vie, je n’ai jamais réussis. Et je suis heureuse que toi non plus tu ne sois pas parvenu à te débarrasser de moi. Sinon, nous ne serions pas là. Je ne serais pas constamment en train de te mordre, et tu ne me traiterais pas d’idiote à longueur de journée. Tu ne serais pas un mutant, et je ne serais pas une chaise Ikea.

6 commentaires:

Evα ♡ a dit…

j'aime beaucoup !

Anonyme a dit…

Waw. Je suis sacrément flattée.

Margaux a dit…

Quel joli texte :) surtout la conclusion, j'imagine qu'elle a un sens particulier pour toi, mais même de l'extérieur, elle est juste parfaite :)

bisous, M.

Le blog de Lice a dit…

J'aime beaucoup ce texte, c'est beau..

Safia a dit…

J'adore cette photo.

Safia a dit…

Oui, oui, j'ai deviné que c'était toi et ton petit ami, c'est pourquoi je trouve cette photo vraiment très jolie : du naturel et du personnel.